La chiropratique mise sur la capacité inhérente du corps humain à se maintenir en santé sans recourir aux médicaments ou à la chirurgie.

Elle se base sur le fait scientifique suivant : le système nerveux impose son contrôle à toutes les cellules, tissus, organes et systèmes du corps. Si cet équilibre est altéré, un dérèglement du système nerveux pourra provoquer des problèmes de santé. La chiropratique est une approche à la fois préventive et curative.

Par l'ajustement vertébral, le chiropraticen aide à rétablir le bon fonctionnement du système nerveux.

Au-delà du volet symptomatique, la prévention constitue le fer de lance de la chiropratique et positionne son angle d’approche sur le bien-être et un mode de vie sain : prendre soin de soi, bouger, bien se nourrir et adopter une attitude positive au quotidien

De par sa formation et selon la Loi sur la chiropratique, le chiropraticien possède les compétences nécessaires pour poser le diagnostic chiropratique du système neuro-musculo-squelettique, ce qui lui permet de bâtir un programme de soins correspondant à la condition physique, l'âge et aux objectifs santé de ses patients.

Il possède également la capacité de prescrire des exercices thérapeutiques, de fournir des informations nutritionnelles et de suggérer des changements d’habitude de vie du patient.

Le chiropraticien est un professionnel de la santé de premier contact : il peut donc être consulté à tout moment, sans avoir besoin d’être référé par un autre professionnel de la santé.

Dans la province de Québec, le futur chiropraticien, ou docteur en chiropratique, doit compléter un doctorat de premier cycle universitaire d’une durée de cinq ans à l’Université du Québec à Trois-Rivières, en plus d’exercer dix-huit mois en clinique sous supervision en milieu universitaire.

Au Québec ou en Ontario, les disciplines étudiées touchent à l’anatomie, à la biochimie, à la physiologie, à la neurologie, à l’embryologie, aux principes de la chiropratique, à la radiologie, à l’immunologie, à la microbiologie, à la pathologie, à la nutrition et aux sciences cliniques liées en particulier au diagnostic.

Non.

Lorsqu’un ajustement chiropratique est pratiqué, cela a pour conséquence de modifier la pression à l’intérieur de l’articulation ce qui provoque un phénomène de succion et la libération d’un gaz (comme lorsque nous ouvrons une canette de "pepsi" par exemple). C’est donc l’échappement de ce gaz qui cause le bruit de craquement que l’on entend parfois pendant une manipulation effectuée par un chiropraticien.

Il est difficile de prédire le nombre de rendez-vous dont vous aurez besoin. Chaque condition et chaque personne est unique et nécessite un examen approfondi pour un meilleur diagnostic.

Dans tous les cas, notre objectif est d'améliorer votre condition et de vous donner tous les outils nécessaires pour obtenir une santé optimale.

La phase de maintien qui consiste à venir nous consulter de façon préventive est fortement suggéré dans plusieurs des cas.

Absolument, il vous faut toutefois un billet de votre médecin traitant.

Généralement, la plupart des assurances couvrent une bonne partie des frais de chiropratique.